Jeudi Littéraire 13 juillet 2017 au Havre des Pas à Saint Quay Portrieux.
Le billet d'Isaline.
En présence de Marianne, Isaline, Françoise venue rejoindre notre cercle et que nous sommes tous ravis d’accueillir, Jean-Marie Philippart , Jean-Pierre et
Clairette. Comme nous vous l’avions annoncé jeudi dernier, nous avons poursuivi la lecture et l’évocation de la Bulgarie cette fois plus particulièrement vers le retour aux sources de Milo Balkanski, cinquante ans après son exil, dans son village situé à 350 kms environ de Sofia, un très beau pèlerinage où le respect, la tolérance, la confiance et la pureté des Etres sont animés d’une belle humanité. Puis c’est un voyage en poésie de New York à Saint-Jacques de Compostelle, deux villes antinomiques à la pensée de Federico Garcia Lorca apportant force véracité à l’écriture poétique. Mais le voyage ne s’arrête pas là, nous sommes retournés à Carthage pour une enquête à travers les civilisations romaines, grecques, Carthaginoises, et la rencontre d’écrivains ayant perçu cette ville mystérieuse avec belles descriptions, où l’ambiance se reflète à travers les lignes. Nous avons terminé avec les nébuleuses du cerveau lorsqu’elles sortent de leurs fonctions ordinaires mettant le désordre en s’attaquant à l’émotif ? Le corps parle, il faut l’écouter, et il dit que le chagrin en est la cause, alors il faut d’abord comprendre pour guérir puisque les mots sont là pour faire ce travail en prolongement des voix. « Il faut soigner l’homme avant la maladie ».
Clairette. Comme nous vous l’avions annoncé jeudi dernier, nous avons poursuivi la lecture et l’évocation de la Bulgarie cette fois plus particulièrement vers le retour aux sources de Milo Balkanski, cinquante ans après son exil, dans son village situé à 350 kms environ de Sofia, un très beau pèlerinage où le respect, la tolérance, la confiance et la pureté des Etres sont animés d’une belle humanité. Puis c’est un voyage en poésie de New York à Saint-Jacques de Compostelle, deux villes antinomiques à la pensée de Federico Garcia Lorca apportant force véracité à l’écriture poétique. Mais le voyage ne s’arrête pas là, nous sommes retournés à Carthage pour une enquête à travers les civilisations romaines, grecques, Carthaginoises, et la rencontre d’écrivains ayant perçu cette ville mystérieuse avec belles descriptions, où l’ambiance se reflète à travers les lignes. Nous avons terminé avec les nébuleuses du cerveau lorsqu’elles sortent de leurs fonctions ordinaires mettant le désordre en s’attaquant à l’émotif ? Le corps parle, il faut l’écouter, et il dit que le chagrin en est la cause, alors il faut d’abord comprendre pour guérir puisque les mots sont là pour faire ce travail en prolongement des voix. « Il faut soigner l’homme avant la maladie ».
Dans plusieurs ouvrages nous aurons pu utiliser le titre du film de Clint Eastwood : « Mémoire de nos Pères » car tel était le cas mais dans le registre affectif et non pas guerrier.
Les ouvrages présentés :
« Sofia – Paris, un aller simple » par Minko BALKANSKI suite 2 de cet ouvrage sensible.
« Poésie III - L’aurore et Danse de Lune à Saint-Jacques » par Federico GARCIA LORCA
« Carthage » analyse et lecture avec la voix posée de Jean-Pierre, de Daniel RONDEAU
« La femme qui tremble » essai par Siri HUSTVEDT
« Magazine littéraire LE 1 » avec des rubriques très précieuses.
Nous donnons rendez-vous à toutes les générations de lecteurs, jeudi 20 juillet au « Havre des Pas » et dans nos pas.